Témoignaged'un ex-commandant de police. 39:12. Jacques Pradel & Emilien Vinee. publié le 16/04/2019 à 21:00. A la Une ce soir, la vie quotidienne d’un commissariat dans une ville moyenne de
Said Chetouane, adolescent de 15 ans, a livré son témoignage ce dimanche sur ce qu’il a subi lors de sa garde à vue dans un poste de police après son interpellation à Alger lors d’une marche. Après le tollé qu’ont soulevé les informations selon lesquelles il a subi des attouchements sexuels » par des policiers, Said Chetouane a indiqué qu’il a été maltraité par les policiers qui l’ont embarqué et ils ont même essayé de le violer ». Le mineur a indiqué qu’il a été embarqué par des policiers samedi au niveau de l’Émir Abdelkader Said Chetouane n’a pas précisé s’il était arrêté à la Place Emir Abdelkader ou au niveau du lycée Emir Abdelkader, ndlr avec d’autres personnes Salmane Mohamed de Chlef, ndlr, un résident à Bab El Oued et un autre de Tipasa sans préciser leurs noms. Salmane Mohamed a été traité avec racisme », a témoigné Said Chetouane, qui a ajouté que les policiers ont dit à Salmane Mohamed Toi tu es un chien, tu es venu de Chlef pour scander »Madania » à Alger ». A noter que Madanya machi askarya » Etat civil et non militaire est le slogan scandé lors des marches du mouvement populaire Hirak ». Interrogé sur ce que les policiers lui ont fait, l’adolescent a indiqué »Ils ont essayé de me violer ». Selon lui, il a été interpellé avec plusieurs autres manifestants. Ils nous ont traité comme des chiens », a-t-il encore témoigné, en précisant que les policiers, qui se trouvaient à l’intérieur du véhicule dans lequel ils ont été embarqués, ne les ont pas traité avec respect, lui et les personnes qui étaient avec lui.
UneMiss livre un témoignage terrible sur son quotidien de femme battue. Le 29/11/2016 à 15h57 Modifié le 29/11/2016 à 16h06 | par La Rédaction. Renata Lustosa est une ravissante jeune femme
Comment le mail dénonciateur d'un témoin indirect a brisé l'omerta de la télé-réalité, provoqué un séisme médiatique et poussé la police à mener de réelles investigations ? En avant-première de notre enquête publiée cette semaine dans le magazine, révèle les coulisses étonnantes de l'affaire “Koh Lanta”. L’affaire » Koh-Lanta a été déclenchée par le témoignage d’un mystérieux Nydo » sur le site Arrêt sur images. TF1 et Adventure Line Production ont cherché rageusement l’identité de celui qu'ils appellent le corbeau ». La police est sur ses traces. Qui est Nydo ? Pas celui qu’on croit. Nous l'avons retrouvé. Voici les coulisses étonnantes d'une drôle d'affaire médiatique, où un citoyen, un jour, s’est dit je n'ai pas vu, mais je dois parler ». Nydo » est un citoyen français tranquille, vie aisée, bon boulot, famille sans histoires. Il connaît bien, depuis très longtemps, celui que nous appellerons Patrick. Patrick travaille pour l’émission de TF1, Koh-Lanta. Il était au Cambodge au moment de la mort de Gérald Babin, le 22 mars 2013. Il est très perturbé par la mort du candidat, s’interroge sur le fait que le médecin n’est pas intervenu tout de suite, que le jeune homme n’a peut-être pas été transféré assez vite, que la logique du jeu a peut-être, à un moment, pris le pas sur celle de la sécurité, etc. Il le raconte à Nydo. A personne d’autre il a un boulot, il y tient. Pas envie de se fâcher avec Adventure Line Production ALP, la société de production, ni la puissante chaîne TF1. De se griller dans ce petit monde où tout le monde se connaît, se coopte. De dénigrer un système qui paie bien, et dont il est, en plus, difficile de sortir la télé-réalité est un peu méprisée par le reste de la production audiovisuelle. Sans parler du plaisir des tournages à l’autre bout du monde, shoots de bonheur, loin de la grisaille quotidienne. La télé-réalité enferme aussi ceux qui y travaillent Patrick n’a pas plus envie que les autres d’être d’exclu de la famille », comme le dit si souvent Denis Brogniart. Nydo, lui, n’a pas peur de perdre son boulot. Il bosse dans un tout autre secteur que la télé. Ce que lui a dit Patrick l’obsède. Il ne supporte pas le décalage entre ce qu'il sait et les communiqués officiels de la société de production. Mais il n’est pas un témoin crédible, puisqu’il n’a rien vu. Il va donc prétendre qu’il a vu. Pas par mythomanie, parce qu'il pense que c'est son devoir. Point par point, minute par minute, méticuleusement, il reprend les éléments donnés par Patrick. Le 27 mars 2013, il envoie un mail, signé du pseudo Nydo Sagan », à plusieurs rédactions, dont le site Arrêt sur images. Ce mail est intitulé Objet Koh Lanta La vérité sur la mort de Gérald BABIN ». Nydo y explique qu'il était présent au moment des faits. S’ensuit une description très détaillée du tournage, des conditions de la mort du candidat de Koh-Lanta. Le mail accuse très précisément ALP, le producteur, et indirectement son médecin, Thierry Costa, de négligences. Daniel Schneidermann, directeur du site Arrêt sur images, réagit le premier au mail. Nydo lui aurait avoué alors n'être pas un témoin direct. Les journalistes du site tentent de recouper ses dires, appellent d’autres membres de Koh-Lanta présents sur place, l’infirmière, etc. Mais ils se confrontent à l’omerta. Une chose est sûre personne ne veut parler. Au cours de notre enquête, la plupart des sources nous ont indiqué que, contractuellement, elles n'ont pas le droit de parler à la presse. Certaines d'entre elles, après nous avoir parlé, nous ont rappelé, craignant des représailles professionnelles », lit-on dans l’article… qui est publié le jour-même. Daniel Schneidermann, que nous avons interrogé sur la vraisemblance de cette unique source indirecte, n’a pas voulu commenter Je ne parle pas de nos sources ». Les révélations d’Arrêt sur images font grand bruit. Elles décident la famille Babin à prendre l’avocat spécialiste de la téléréalité Jérémie Assous, et donnent de l’ardeur à la justice, qui enquête. Les journalistes de toutes les rédactions appellent frénétiquement – et manifestement sans grand résultat – les personnes présentes sur le tournage pour obtenir elles aussi leur » témoignage. Dans le petit monde de la télé-réalité, c’est la stupéfaction. Qui a osé parler ? TF1 et la société de production déclarent la chasse au corbeau » ouverte. Patrick lui-même s’interroge sur l’identité de cette source, sans savoir… que c’est lui. Pour Nydo, le silence sera de plus en plus difficile à garder. Il avouera plus tard à Patrick qu’il est le fameux corbeau ». Les jours suivants, plusieurs médias produisent leur » témoin » exclusif, évidemment anonyme. Vu du grand public, l’impression est trompeuse ça y est, les vannes s’ouvrent, les témoins se lâchent et se confortent dans leurs témoignages accusateurs. Encore un témoin ! », clament avec enthousiasme les médias qui reprennent en boucle et sans grande distance chaque nouvelle info. Sauf que, selon nos informations, cette ronde de témoins se nourrit pour l'essentiel, et sans le savoir... à la même source qu'Arrêt sur images. Le 1er avril, le médecin Thierry Costa se suicide. C’est l’effarement. Les responsables d'ALP occupent en force les plateaux des médias amis » – TF1, Canal +, LCI… – et pointent le site Arrêt sur images du doigt. L’avocat d’ALP se répandra en déclarations outrées sur le corbeau, le rapace, le salaud, qui surfe sur la mort et entraîne la mort d’autres personnes » sur le site de L’Express. Dans une réunion du 3 avril où ALP a convoqué tous les participants de l'émission, Denis Brogniart brandit rageusement le mail de Nydo C'est ça qui a tué Thierry ! » On entend des membres de la production promettre une expédition punitive » contre le corbeau ». Le 5 avril, Arrêt sur images publie six nouveaux témoignages, qui rectifient certaines affirmations erronées du premier témoignage de Nydo comme le fait que l'hélicoptère n'aurait pas été appelé pour des raisons d'économie, mais confirment le sentiment de malaise. Des gens ont parlé ! Encore ! Sauf que ces témoignages… n’en seraient toujours pas ils auraient été tirés de conversations entre des personnes de l’équipe de Koh-Lanta, enregistrées à leur insu. Ces témoins » directs n'auraient donc pas eu conscience d’avoir témoigné. Au final, des témoins ont-ils sciemment rompu le silence ? Si des gens n’avaient pas dit ce qu’ils avaient vu, nous n’aurions pas publié cet article », nous a répondu Daniel Schneidermann. S’ils ne VOUS avaient pas parlé ? », a t-on insisté. S’ils N’AVAIENT pas parlé », a t-il répété. La nuance a son importance. Depuis trois mois, et le premier soi-disant flot » de témoignages, le silence est revenu dans les médias. Les témoins parlent… mais à la justice, parce qu’ils y sont obligés. La plupart ont été entendu plusieurs heures, l'infirmière qui travailait sur place avec le médecin a été interrogée au moins deux fois. L’enquête préliminaire devrait aboutir dans les prochains jours. Le procureur décidera alors si les faits sont suffisamment graves pour qu’une instruction soit ouverte. Parallèlement, ALP a porté plainte pour diffamation contre Arrêt sur images. La police enquête sur l'auteur du mail, l'étau se resserre autour du whistleblower » de la télé-réalité. Et Patrick vit plus que jamais dans la peur que son nom soit révélé à ceux avec qui il travaille encore aujourd'hui. Peur de se faire casser la gueule », de devoir déménager, de ne plus jamais avoir de travail à la télé. Que sortira-t-il de cette drôle d’histoire ? Reste que, sans ce mail écrit par une personne étrangère à la télé-réalité et sans tous ces témoins malgré eux, la justice n’aurait sans doute pas mené aussi loin ses investigations sur ce qui est devenu l’affaire Babin ». Et la télé-réalité serait restée murée dans son habituel silence. télé-réalité TF1 Koh Lanta Jérémie Assous Partager Contribuer
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Le procès de Benjamin Mendy s’est poursuivi ce mercredi avec une nouvelle journée d’audience au tribunal de Chester. Le témoignage d’une plaignante accusant le champion du monde d’un viol en juillet 2021 a été diffusé. Nouvelle journée de témoignage au tribunal de Chester, où le procès de Benjamin Mendy, accusé de huit viols, une tentative de viol et une agression sexuelle, s’est ouvert le 10 août dernier. Ce mercredi, le témoignage d’une victime présumée de viol, enregistré par la police en février 2022, a été diffusé. >> Le procès de Benjamin Mendy EN DIRECT Les faits décrits par la plaignante remontent au 23 juillet 2021. Elle dit avoir été invitée au domicile du joueur et avoir accepté de s’y rendre, précisant que Louis Saha Matturie, co-accusé dans cette affaire, lui a payé le taxi pour la conduire sur place. La plaignante explique qu’à son arrivée, trois autres femmes étaient présentes. Je me souviens que sa façon de parler était assez directe et crue » À un moment de la soirée, Mendy lui a envoyé des messages pour lui demander de descendre. Trouvant cela étrange », elle dit être tout de même venue. On a fini par s’embrasser et il a baissé son pantalon, raconte-t-elle. Je lui ai dit je ne fais rien’. Il a répondu que veux-tu dire?’ Je me souviens que sa façon de parler était assez directe et crue. Il était du genre tu ne me fais pas confiance’. » La plaignante a ensuite expliqué qu’elle n’avait effectivement pas confiance car elle avait rencontré Mendy pour la première fois seulement trois jours plus tôt. Selon la victime présumée, l’ancien joueur de l’OM et de l’AS Monaco utilisait des mots particulièrement directs. Il était là du genre toutes ces femmes veulent baiser avec moi’. Je crois qu’il me disait des choses pour me convaincre de faire des trucs avec lui », ajoute la plaignante. Elle dit avoir répondu Je ne veux pas faire quoi que ce soit de ce genre, je suis juste venue boire un verre. Pour essayer de le calmer, la plaignante dit avoir répliqué à Mendy qu’elle ne prenait pas la pilule. Rien ne le gênait », ajoute la plaignante. La plaignante assure qu’elle était sobre à ce moment-là et donc tout à fait consciente de la situation ». Elle aurait déclaré à Mendy Je ne te connais pas, je préfère d’abord apprendre à connaître quelqu’un. » Elle assure que Mendy lui a demandé une fellation, ce à quoi elle a répondu non ». Le joueur aurait répété sa demande plusieurs fois », en ajoutant que, si elle partait, personne ne lui adresserait la parole ». C’était comme parler à un mur » Je ne savais pas quoi faire à ce moment-là , j’avais donné toutes les excuses possibles pour me sortir de cette situation », ajoute la plaignante, notamment celle de devoir aller travailler. C’est comme si rien de ce que je disais ne lui faisait tilt, c’était comme parler à un mur, ajoute la plaignante. J’ai fini par être obligée de céder, il n’y avait rien d’autre que je puisse dire ou faire. » La victime présumée précise ensuite les circonstances du viol J’ai dû me mettre à quatre pattes. Il était derrière, avec sa main sur mon dos. J’ai dit non’. Il m’a répondu laisse moi’. » La plaignante confirme qu’ils ont fini par avoir une relation sexuelle ». Ce n’était pas long, dans les 20 secondes et c’était fini », ajoute-t-elle. La plaignante a précisé lui avoir dit plusieurs fois Je ne veux rien faire, je ne te veux pas. » Il aurait répondu c’est petit, ne t’inquiète pas ». La plaignante répète qu’elle n’était pas consentante Durant tout le temps que ça a duré, il savait que je ne voulais pas ça, appuie-t-elle lors de son audition. Il continuait à s’approcher et à insister, je ne pouvais plus rien faire d’autre. » A son retour à l’étage, la plaignante dit avoir déclaré à son amie que quelque chose s’était passé mais pas quelque chose que je voulais ». L’amie en question lui aurait répondu Deux gars l’ont empêchée de descendre et lui ont demandé de ne pas y aller. » La plaignante relancée sur la notion de consentement lors du contre-interrogatoire Durant les jours qui ont suivi le viol présumé, la plaignante confie s’être sentie sale », honteuse », précisant qu’elle ne voulait même pas se toucher sous la douche ». Elle assure avoir ensuite reçu plusieurs messages de Mendy lui demandant de venir le voir ». Alors que Mendy a été arrêté par la police, la plaignante raconte avoir reçu un message d’une de ses amies, lui demandant si elle avait parlé. La victime présumée lui a dit que non, qu’elle n’avait pas parlé à la police. La plaignante précise qu’elle était trop effrayée » pour aller porter plainte Je ne voulais pas penser à ce qu’il s’était passé. » Relancée sur la notion de consentement lors du contre-interrogatoire, la victime présumée a répété qu’elle n’avait jamais dit oui au footballeur. Monsieur Mendy ne vous a pas violée, si? », a interrogé l’avocate de Mendy. Il l’a fait », répond la plaignante. L’avocate insiste sur la notion de consentement, demandant notamment ce que la plaignante pensait faire en rejoignant Mendy en bas. La plaignante répète avoir été agressée sexuellement et n’avoir consenti à aucun moment. Source link Jai fini par être obligée céder témoignage dune nouvelle victime présumée viol
TĂ©moignagesur la police et la justice françaises. Par ce blog, je tĂ©moigne, anonymement, des dĂ©rives de la police et de la justice françaises. Je m’appelle Laurence, j’habite Ă Lyon, je suis professeure de MathĂ©matiques. En juillet 1994, j’ai frĂ©quentĂ©, pendant quelques semaines, un journaliste d’une importante chaĂ®ne de tĂ©lĂ©vision française privĂ©e. Suite Ă
Le tireur présumé, âgé de 17 ans, et son complice présumé, âgé de 18 ans, ont été mis en examen à l’issue de leur garde à vue, dans l’affaire du meurtre d’un réfugié afghan dans la ville-préfecture du Haut-Rhin le 14 deux principaux suspects dans l’affaire du réfugié afghan tué par balle le 14 août à Colmar ont été mis en examen ce vendredi pour assassinat et placés en détention provisoire, a annoncé la procureure de la République de cette ville, Catherine Sorita-Minard. Les deux jeunes de 17 et 18 ans, considérés comme coauteurs» de cet assassinat, ont été également mis en examen pour infractions à la législation sur les armes en l’espèce un pistolet automatique, en réunion», a-t-elle précisé dans un tireur présumé avait été arrêté mardi à Sarcelles Val-d’Oise. Son complice présumé a été interpellé quelques heures plus tard, dans la nuit de mardi à mercredi, dans le quartier Europe à Colmar, là même où s’était produit le drame. Trois autres personnes, dont le second jeune activement recherché, ont été interpellées cette nuit vers 1 heure du matin», avait déclaré la procureure de la République de la ville, dans un communiqué soir, des policiers du Raid et de la BRI, lourdement armés et épaulés par leurs collègues de Colmar et des CRS, avaient investi et bouclé hermétiquement une tour de 15 étages, située à 500 mètres des lieux de l’assassinat, sous les yeux de quelque 200 badauds et habitants de l’ avant minuit, la police a autorisé les habitants de la tour maintenus à l’extérieur à regagner leurs logements. Selon le quotidien L’Alsace, les suspects interpellés visiblement assez jeunes» ont été emmenés, menottés, peu avant 2 heures du matin, quand l’attroupement devant l’immeuble était presque entièrement doutes sur la thèse du rodéo urbain»Le 14 août, la victime de l’assassinat, un afghan de 27 ans, était de passage à Colmar pour retrouver des amis dans le quartier Europe à l’ouest de cette ville touristique. Le jeune homme, réfugié en France depuis 2017, a été tué d’une balle dans le thorax. Importuné par les bruits d’un scooter, Abdul Quayyeem Ahmadzai avait demandé au conducteur de s’éloigner. Ce dernier l’avait alors insulté, avant de revenir avec plusieurs individus», détaille la procureure de Colmar. Une rixe avait ainsi éclaté entre les deux groupes et, alors qu’une partie des protagonistes se dispersait, un coup de feu était tiré par un individu, selon les témoins entendus dans le cadre de l’enquête, en direction de la victime».Le jeune Afghan est mort des suites de ses blessures à l’hôpital dans la nuit. L’autopsie, quant à elle, a confirmé qu’il avait été atteint d’une seule d’un rodéo urbain» avait été évoquée dans un premier temps comme un possible déclencheur à cette rixe mortelle, avant d’être contestée. Ce n’est pas parce que quelqu’un est en scooter qu’il fait un rodéo», avait relevé, deux jours après les faits, le maire LR de Colmar, Eric Straumann. Cette arrestation permettra de comprendre les circonstances de cet assassinat. Félicitations à la Police», a tweeté l’ cercueil de la victime devait être rapatrié ce mardi vers l’Afghanistan. Lundi, environ 200 personnes s’étaient réunies autour de son cercueil pour une cérémonie funéraire à la Grande Mosquée de Strasbourg. Employé dans une usine automobile à Mulhouse, Abdul Quayyeem Ahmadzai laisse une femme et quatre jeunes enfants restés en Afghanistan, selon ses Twitter, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin s’est félicité de l’arrestation du tireur présumé La police gagne toujours à la fin. Merci aux enquêteurs pour leur travail acharné.» Peu après l’assassinat, le ministre avait dépêché à Colmar la CRS 8. Cette unité mobile de maintien de l’ordre susceptible d’intervenir dans de très brefs délais sur tout le territoire a multiplié les contrôles pendant quelques à jour vendredi 26 août à 17 h 30 avec la mise en examen et le placement en détention provisoire des deux principaux suspects.
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Retour à la Cour Zamia, à Pointe-à -Pitre, deux jours après le meurtre d’un trentenaire, par balles. Cela a été un fait divers de plus à déplorer dans le quartier, car ils sont nombreux sur place. Immersion dans ce quartier difficile, à travers le témoignage d’une habitante. Prenons le temps d’une immersion dans le quartier dit difficile » de la Cour Zamia, à Pointe-à -Pitre. C’est là qu’un homme d’une trentaine d’années a été criblé de balles, mercredi 8 juin 2022, en plein après-midi ; il n’a pas survécu à ses blessures. Sur place, les habitants ne s’étonnent plus, lorsque ce type de fait divers survient les homicides, incendies, trafics, fusillades et autres faits de violence perpétrés à la Cour Zamia font régulièrement la Une de la presse régionale. Le quotidien est compliqué. Nous avons recueilli le témoignage d’une habitante, qui a souhaité rester anonyme. Caroline appelons-là ainsi évoque l’atmosphère qui règne dans ce quartier et nous livre ses sentiments, entre peur et colère. La Cour Zamia, on y trouve de tout de la drogue, de la prostitution, y a des gens bien, y a des personnes âgées... Caroline, habitante de la Cour Zamia, à Pointe-à -Pitre Habituellement, dans ce microcosme, nul ne parle des évènements récents... en tout cas pas en présence de personnes de l’extérieur. Caroline, elle, brise cette omerta. Elle confirme qu’un homme tué par balle ne surprend pas, ici-bas. Je ne suis pas surprise. C’est assez courant, dans le quartier, étant donné que c’est un ghetto. Caroline, habitante de la Cour Zamia, à Pointe-à -Pitre Et qui dit ghetto, dit lieu peu fréquentable. Si bien que la plupart des habitants quittent les les difficultés sont multiples, pour eux, jusque sur le marché de l’emploi. Ces personnes pâtissent de la mauvaise réputation de leur lieu de résidence. J’ai eu des voisins qui habitaient dans la nouvelle résidence. Quand ils sont arrivés, ça se passait bien. Après, disparus ! Et les résidents de pratiquement tout le bâtiment ont disparu. Là , il ne reste que ceux qui tiennent le coup. Le quartier a mauvaise réputation, donc les gens sont très méfiants dès que tu demandes du boulot ! Beaucoup déménagent par rapport à ça. Caroline, habitante de la Cour Zamia, à Pointe-à -Pitre Caroline est aussi une mère de famille. Elle confirme que ce n’est pas simple d’assurer l’éducation de son enfant, sur place. Par rapport aux enfants, ça craint. Parce qu’on ne sait jamais. Bon, pour l’instant, heureusement, c’est rare les balles perdues, mais ça arrive... Caroline, habitante de la Cour Zamia, à Pointe-à -Pitre Caroline ne croit pas en la capacité des forces de l’ordre et des autorités à résoudre les soucis. C’est un peu décevant. Y’a personne qui fait quoique ce soit. Les policiers ne font rien ! Tu leur dis que tu as un bordel près de chez toi, à Zamia... tant qu’il n’y a pas quelqu’un à terre, ils ne se déplacent pas. Les pompiers ne se déplacent plus sans la police. Donc, quand il y a incendie, bagarre ou blessé, ils doivent appeler d’abord la police pouvoir sortir de leur caserne. C’est un peu chacun pour soi et Dieu pour tous, dans ce quartier ! Caroline, habitante de la Cour Zamia, à Pointe-à -Pitre C’est ainsi que les lieux semblent souffrir en silence et laissent percevoir un certain malaise, au sein de la population qui y vit.
Oncherche à savoir pourquoi ils veulent entrer dans la police, par vocation ou parce qu'ils ont besoin d'un boulot. Ce n'est pas un métier facile, qui réclame certaines valeurs et
Déjà malades et affamés, les Juifs du ghetto de Varsovie ont été progressivement rassemblés pour être déportés au camp d’extermination de Treblinka en 1942. Les autorités allemandes dirigeaient les opérations, mais elles se sont aussi appuyées sur les policiers juifs du ghetto – un groupe officiellement appelé Service d’ordre juif – pour rassembler les Juifs. Chapitre douloureux de l’histoire de la Shoah, l’histoire de la police juive dans la capitale polonaise occupée fait l’objet d’un nouveau livre, Warsaw Ghetto Police The Jewish Order Service During the Nazi Occupation [Police du ghetto de Varsovie le Service d’ordre juif pendant l’occupation nazie], écrit par l’historienne Katarzyna Person. C’est un sujet de très sensible, qui l’était encore plus juste après la guerre », a déclaré Person, qui travaille actuellement à l’Institut historique juif de Varsovie. Lors d’une interview via Zoom, elle a déclaré au Times of Israel C’est un sujet qui, après-guerre, a mis les collaborateurs face à leurs actions contre leur propre communauté pendant la guerre. » Recevez gratuitement notre édition quotidienne par mail pour ne rien manquer du meilleur de l’info Inscription gratuite ! Je sentais que c’était quelque chose dont nous devions parler », a-t-elle déclaré. Personne n’a vraiment effectué les recherches appropriées. » D’abord publié en polonais, le livre a été traduit en anglais par Zygmunt Nowak-Solinski et publié par Cornell University Press en partenariat avec le United States Holocaust Memorial Museum. Le livre se fonde sur des sources primaires telles que des journaux intimes et des carnets. Certains ont été écrits par des Juifs dans la clandestinité, dont les familles ont été décimées par les actions des policiers. D’autres ont été écrits par les policiers juifs eux-mêmes, dont Stanislaw Adler, qui a occupé des postes à responsabilité politique dans la Pologne d’après-guerre, mais s’est suicidé en 1946 à la suite du pogrom de Kielce. L’historienne Katarzyna Person, auteur de La police du ghetto de Varsovie le Service d’ordre juif pendant l’occupation nazie. Autorisation Cornell University Press Plus de 1 000 personnes ont servi dans le Service d’ordre juif du ghetto de Varsovie, tandis que d’autres groupes de ce type ont été fondés dans d’autres ghettos nazis de l’Europe occupée. À Varsovie, les policiers juifs étaient sous l’autorité suprême des Allemands, mais sous la supervision plus directe de la Granatowa Policja polonaise, ou Police bleue. Leur rôle officiel était de travailler avec le Judenrat, ou conseil des Juifs, qui exerçait une surveillance nominale sur le ghetto. Dans chaque ghetto, leurs responsabilités étaient un peu différentes », explique Person. La façon dont ils ont répondu et travaillé avec la Granatowa Policja et les autorités allemandes était différente. » Elle a noté que la grande majorité n’avait pas suivi de formation pour devenir policier ». D’autres chercheurs ont fait l’éloge de son livre, dont Antony Polonsky, professeur émérite à l’Université Brandeis. Il s’agit d’une étude majeure sur la difficile question de la collaboration juive, et elle traite des questions morales complexes que cela soulève de manière claire et impartiale », a écrit Polonsky dans un courriel au Times of Israel. Il devrait être lu par tous ceux qui s’intéressent à la Shoah en Pologne. » Mythe, réalité et démantèlement des théories antisémites Née à Varsovie, Person comprend la nature chargée de ce sujet. Bien que l’existence du Service d’ordre juif soit une chose très connue », elle a ajouté que cela participe également d’un discours antisémite dans mon pays ». C’est un symbole de collaboration. J’essaie de démêler le mythe de l’histoire », a expliqué Person. C’est un symbole de collaboration. J’essaie de démêler le mythe de l’histoire. Le travail de Person à l’Institut historique juif se concentre sur des documents des archives Ringelblum – une mine d’informations sur le ghetto de Varsovie secrètement compilée pendant la Seconde Guerre mondiale par un groupe dirigé par le Juif polonais Emanuel Ringelblum. Elle a consulté des documents de ces archives comme sources pour son livre, son deuxième après Assimilated Jews in the Warsaw Ghetto, 1940-1943 [Juifs assimilés dans le ghetto de Varsovie, 1940-1943]. Une couronne et des fleurs sont déposées devant un monument dédié aux archives clandestines du ghetto juif, lors de la cérémonie de dévoilement sur le site où les archives Ringelblum ont été cachées durant l’occupation nazie pendant la Seconde Guerre mondiale, à Varsovie, le 19 avril, 2021. Wojtek RADWANSKI / AFP Person considère ces archives comme le plus important des témoignages du ghetto de Varsovie et réellement, de la Shoah elle-même ; une collection importante qui donne une image complexe et différente de la vie sociale communautaire du ghetto, qui essaie de montrer toute la vérité dans des circonstances parfois difficiles. » Cela inclut le Service d’ordre juif. Les gens ont agi différemment », a-t-elle déclaré. Nous devons le comprendre. » La première cache d’archives d’ Oneg Shabbat » est récupérée dans les ruines du ghetto de Varsovie, en Pologne, en septembre 1946. Domaine public Lorsque l’appel à rejoindre le Service d’ordre juif a été lancé pour la première fois en 1940, il y avait plus de candidats que de postes à pourvoir. À ce moment-là , personne n’avait eu de travail depuis un an », a déclaré Person. Le ghetto de Varsovie était hermétiquement fermé. Après un an, les familles devaient subvenir à leurs besoins… Les gens ont essayé de s’entraider lorsque l’occasion s’est présentée de leur permettre de gagner leur vie. » Marché du ghetto de Varsovie, en Pologne occupée par les nazis, 1941. Domaine public Le Droit était l’un des domaines où il n’y avait aucun moyen de gagner sa vie depuis le début de la guerre », a expliqué Person. [L’]élément essentiel, est que lorsque [le Service d’ordre juif] a été mis en place, personne ne savait ce qu’il deviendrait. Personne ne savait pour la Shoah, ni que le ghetto serait liquidé. Personne ne savait vraiment ce qui allait se passer un an et demi plus tard. » Personne ne savait pour la Shoah, ni que le ghetto serait liquidé. Personne ne savait vraiment ce qui allait se passer un an et demi plus tard. Parmi les membres du Service d’ordre juif, on comptait des gens nés dans la foi juive mais converties au christianisme, comme le futur chef de la police juive de Varsovie, Jozef Szmerynski. [Szmerynski] a eu une carrière très illustre avant la guerre », a déclaré Person. Il avait beaucoup d’amis. Il connaissait tout le monde dans la Granatowa Policja. Illustration Un vendeur de brassards dans le ghetto de Varsovie, créé par les nazis, qui a existé de 1940 à l’été 1943. Domaine public L’uniforme de chaque policier juif se composait d’une casquette, d’un insigne et d’un brassard numéroté. Ils utilisaient une matraque — la police juive de Varsovie, comme celles des autres ghettos, n’avait généralement pas le droit de porter d’autres armes. Bien que les hauts gradés arboraient des uniformes éclatants et se déplaçaient en pousse-pousse, le gros des employés manquait d’un salaire régulier et leur tour de taille réduisait, soumis à la même sous-alimentation qui ravageait le reste du ghetto surpeuplé et en proie à la maladie. Leurs bottes étaient trouées à cause des fréquentes patrouilles à pied dans des rues jonchées d’ordures, bien que certains membres se soient déplacés en vélo. La corruption faisait vraiment partie de son fonctionnement », a déclaré Person. Ils n’ont versé aucun salaire pendant une longue période. Ils ne l’ont pas fait pour les gens [au bas de l’échelle]. » Illustration Dans le ghetto de Varsovie, en Pologne occupée pendant la Seconde Guerre mondiale, les autorités nazies ont nommé une force de police juive pour maintenir l’ordre et exécuter leurs ordres. Domaine public Pourtant, ajoute-t-elle, il y avait des avantages Ils avaient accès à certains privilèges – soupes populaires, soins médicaux, influence sur les commerçants pour se procurer certaines denrées dans le ghetto. Dès le début, [le chef du Service d’ordre juif] Szmerynski s’est battu [pour lutter contre cette corruption]. Il n’avait aucun moyen de la combattre. Ils recevaient des pots-de-vin. C’est comme ça qu’ils ont survécu. » Ils recevaient des pots-de-vin. C’est comme ça qu’ils ont survécu. La police juive était initialement chargée de tâches telles que la surveillance du trafic et l’application de mesures préventives contre les maladies infectieuses telles que le typhus et la tuberculose. Un problème plus grave s’est posé lorsqu’ils ont reçu l’ordre de rassembler d’autres Juifs pour les envoyer dans des camps de travaux forcés – un euphémisme nazi. C’étaient essentiellement des lieux de torture dans lesquels les gens pouvaient être extrêmement détruits physiquement et émotionnellement », a déclaré Person. La famille [d’un déporté] restée à Varsovie n’avait aucun moyen de subvenir à ses besoins. » Des Juifs alignés dans le ghetto de Varsovie au cours de la Seconde guerre mondiale. Crédit Autorisation de l’American Jewish Joint Distribution Committee Archives via JTA Le printemps 1942 a apporté une menace existentielle encore plus grave, avec la création de camps de la mort nazis tels que Treblinka – et des quotas quotidiens de déportation vers ces camps que les policiers juifs devaient faire respecter. A Varsovie, comme dans d’autres ghettos, la police juive a joué un rôle dans les déportations », a déclaré Person. Les membres du Service d’ordre juif ont essayé de rassembler les gens, de les regrouper sur le lieu d’où la plupart des gens ont été emmenés au camp de la mort. » C’est vraiment devenu un choix entre la vie de leur famille et de leur enfant, et celle de l’enfant de quelqu’un d’autre. Elle explique que les quotas sont vraiment devenus un choix entre la vie de leur famille et de leur enfant, et celle de l’enfant de quelqu’un d’autre. Il n’y avait pas d’échappatoire. » Person affirme avoir connaissance de nombreux membres [qui ont] sorti leur famille du ghetto, puis ont démissionné ». Illustration les nazis arrêtent des gens dans le ghetto de Varsovie, en Pologne, au printemps 1943. AP Responsabilité et inéluctabilité Le livre affirme que par son assistance pour les déportations, le Service d’ordre juif a permis de réduire la pression sur les autorités allemandes. Person note que certaines voix juives du ghetto ont soutenu que les déportations n’auraient pas eu lieu si le Service d’ordre avait refusé d’y participer. Elle affirme que ce n’est pas vrai ». Cela serait arrivé malgré tout, cela aurait simplement demandé plus de personnel et aurait été effectué différemment », a-t-elle déclaré. Les déportations, la Shoah et la liquidation du ghetto de Varsovie auraient eu lieu, que la police juive ait été impliquée ou non. » Dans le feu de l’action pendant la révolte du ghetto de Varsovie. Autorisation USHMM La destruction du ghetto a commencé en 1943 avec la révolte du ghetto de Varsovie. Il y avait déjà eu un soulèvement moins important en janvier, quelques mois avant que le second, plus célèbre, qui n’a éclaté qu’en avril de la même année. Les attaques contre la police juive duraient alors depuis près d’un an, car la résistance juive gagnait en puissance. Warsaw Ghetto Police The Jewish Order Service During the Nazi Occupation », par l’historienne Katarzyna Person. Autorisation Cornell University Press Certains policiers ont survécu à la destruction du ghetto, et ont servi comme gardes dans les ateliers » qui l’ont remplacé. Cependant, cela s’est souvent avéré être un sursis temporaire, comme ce fut le cas pour les membres du Judenrat. Nous savons que les [membres des] ateliers ont également été déportés », a expliqué Person. Les membres du conseil juif, les membres de la police juive avaient reçu l’assurance qu’ils ne seraient pas déportés. Ce n’était pas vrai. » Certains policiers se sont échappés du ghetto. Mais après la guerre, beaucoup n’ont pas pu échapper aux purges de leurs coreligionnaires qui avaient documenté leurs actions et les ont traduits devant les tribunaux d’honneur juifs. Des procès communautaires internes ont été menés en Pologne avant que le phénomène ne s’étende à l’Autriche, à l’Allemagne et même, dans les années 1950, au nouvel État indépendant d’Israël. [Dans] pratiquement toute l’Europe », a déclaré Person, c’est devenu un lieu de… recherche de justice contre les personnes complices », non seulement d’anciens policiers mais aussi d’anciens membres du Judenrat. Person a noté que de nombreuses recherches ont dorénavant porté leur attention sur les procès d’après-guerre ». Quant à son livre, Je suis très heureuse qu’il soit assez largement lu », a-t-elle déclaré. J’espère que cela conduira à une image un peu plus nuancée… C’est vraiment mon objectif [de présenter] la complexité de tels choix, une perspective aussi multidimensionnelle que possible de ces individus. » Cet article contient des liens d’affiliation. Si vous utilisez ces liens pour faire un achat, le Times of Israel peut toucher une commission sans frais supplémentaires pour vous.
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